Black Earth by Cloud Strife

[i]Voila se topic est réalisé pour vous parler d'un histoire que j'écris de mes petites mains habiles et si fébriles.

Black Earth, c'est une histoire que j'ai commencé il y a un long moment sur un délire entre pote (plus un coup de déprime de ma part), c'est pour cela que les noms son typiquement French et de plus se sont les notres (moi+amis).

Je vous laisse lire le Synopsis si vous avez envie.

Synopsis :

Dans un monde tout à fait normal Rémy un jeune étudiant part pour une journée de cours de plus. Malheureusement, pour lui l’improbable allait se produire se jours là, et changer sa vie.
Le monde se retrouve catapulté dans un univers d’horreur et de tuerie.
Dans se chaos, Rémy tente de survivre, et tombe dans le coma se réveillant sept jours plus tard, à l’abris dans une église, gisant dans un lit nappé de sang.
Il venait d’apprendre que le Second Soulèvement venait d’avoir lieu, un nouveau déluge, le début du jugement des actes de l’être humain. L’enfer venait de gire sur Terre pour détruire toute forme de vie.

Un seul moyen de contre carrer ce destin. L’Homme doit se battre et pour cela, certain sont sujet à des pouvoirs.
Quelques fois bénin allant du soin au feu, en passant par la répulsion des forces démoniaque.
Mais d’autre, les Liberis, des humains aux pouvoirs divins provenant de puissances mystiques, sont présenter comme les protecteurs, et libérateur de l’Homme.
Rémy est l’un de ses Liberis, il s’en aurait bien passé, il est victime de "la punition des puissants". Le corps des Liberis est un puit d’âme, il assimile la force psychique des morts. Seulement le corps de Rémy et des autres Liberis n’est pas préparé à une telle imprégnation. Leurs organisme à pour réaction de refouler cette énergie, marquant l’anatomie des Liberis de nombreuse marque. A long terme s’il ne s’administrait pas des Larmes Saintes, il pourrait en mourir.

Rémy se retrouve à devoir vivre enfermer dans une église, lieux ou aucun démon ne tente d'entré.
Les rues sont jalonnées de cadavre, de diuvels (démon primitif), zombie et créature en tout genre.
Dans cette ambiance plus que malsaine, des survivants croisent tout les dangers possibles simplement pour trouver un peut de nourriture. Chacun à des taches à accomplir, allant de la découverte de survivant à la recherche d'objet.

Au sein de sa mésaventure Rémy pourra compter sur ses amis. Roxane, David, Joseph, Florian et Thibaut, tous se connaissait avant le désastre comme simple lycéen de la ville.
Roxane, David et Joseph son eux aussi des Liberis comme Rémy. Roxane est une fille nerveuse et avide de vengeance après la mort de sont petit ami. David est le plus posé de tous, il recherche toujours les meilleures solutions, il est un véritable MC. Gyver. Joseph est celui qui réussi à vous remettre le moral quand vous êtes déprimé, toujours présent pour tendre sa main pour aider.
Florian et Thibaut, sont des humains rien de plus normal, chacun lié à un groupe de survivant. Ils rejoignent les autres plus tard dans l’histoire, ils sont une véritable force dans le groupe.
Plus tard les rejoindra Laura, une fille bien étrange cachant sont véritable but. Rémy voit en elle, une personne qui la comprend, et se retrouve destiné à apprécier ce personnage.

Mais Rémy se sent souvent à l’écart, vu comme un pestiféré par les autres survivants et surtout par les prêcheurs de la foi, le voyant comme un Démon. Il faut dire que rien ne l’aide, il est le seul à pouvoir toucher des artéfacts démoniaques, et se sert de l’un d’eux comme arme. Il est aussi victimes de rêve étrange, qu’il ne raconte à personne, de peur d’être prit pour un fou.
Ceci dit, il n’est pas le seul à avoir un destin étrange car lui et ses amis apprendrons plus tard, que Roxane est une digne descendante de Légion (Lucifer). Voué à pouvoir invoquer nombre de créature mystique ancienne, elle sera la clé du destin du monde. Mais est ce la seul clé ?

Très rapidement, il devront faire face à un nouvel ennemi, l'avidité des hommes, entre ceux corrompu par le mal, et les illuminés voyant dans se cataclysme le choix des meilleurs âmes par Dieu créant ainsi un clan qu'il faut intégrer ou mourir.
Les perverties sont des individus consacrés au mal, des troupes sanguinaires ressemblant aux barbares du Moyen-Âge, trouvant le plaisir que dans un bain de sang.
Les représentant des « illuminés », se démontre comme les descendant des chevaliers de l’Ordre du Temple, et de se faite étant les seuls à pouvoirs sauver les survivants. Mais ils ont plutôt une ressemblance troublante à l’abominable organisation Ku Klux Klan.

Dans se bain de sang, ils apprendrons leur terrible destiné qu'ils n'ont pas choisi, arriverons t'il a y faire face, ou, deviendrons t'il fou de part leur pouvoir au effet indésirable?
Rémy et ses amis devront fermer le lien entre l’enfer et la terre, avancer dans l’enfer lui-même pour mettre fin à la terrible menace qui couvre le monde.
Mais surtout chacun d’entre eux devra se battre contre leur propre démon intérieur. La remise en question leur sera une épreuve de plus à surmonter, qui peut leur être fatal, certain en finirons brisé pour toujours.

Là, où, toute les religions, mythe, et légende se mélange, une seule possibilité pour la race humaine survivre ou périr.
La destruction de Légion et de sa horde de démon est le passage obliger pour détruire toute trace de mal et enfin pouvoir rêver à une vie normal.

Si la vie est toujours possible...

Voila des images d'illustration by me. Donner votre avis sur le synopsis et les dessins Merci.

Citation :: Plus tard les rejoindra Laura,
une fille bien étrange cachant sont véritable but. Rémy voit en elle,
une personne qui la comprend, et se retrouve destiné à apprécier ce
personnage.

vous remarquez la toute petite place que mon personnage tiens dans le synopsis XD

aprés lécture du sypnosis le verdicte:

l'histoire à l'air d'être trés intéressante (bon aprés faudra que je lise la version complette pour définir si c'est bon XD) mais bon le résumer m'a bien envis de lire l'histoire complette.

Je ne dirais qu'une chose ... VITE LA SUITEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!!

[justify]Bon voila je suis désolé j'ai pas trop remis au goût du jours ce topic, mais chose promise chose dut, voila le départ de l'aventure avec d'abords le prélude bien entendu, au départ il à toujours le commencement. Que je m'aime quand j'ai des phrases si grandiose qui s'envole de mon esprit....

Quoi? Je m'enfonce?

Bon d'accords, en avant dans l'aventure.

BLACK EARTH

Prélude :
(1er Partie)

Quelque part dans une région dans l’ancienne France trois mois après le 2nd soulèvement.

Le ciel bleu d’été me semble si loin, le temps où on pouvais sans rupture faire la fête pour n’importe quelle raison. Oui tous ça est loin, même très loin, et pourtant ce n’est pas si vieux, mais ses trois derniers mois m’ont parut une éternité. Maintenant le ciel est sombre, on ne reconnaît pas le jour de la nuit, les cendres couvrent le ciel et le rendent presque invisible. Ceux qui représentaient ma famille et mes amis ne sont plus.
Tous sa à cause de ce jour, de cet instant où tout s’est déchaîné contre l’humanité. L’Homme ne devait plus être assez distrayant peut-être ? Toute la première partie de ma vie de gamin balayé. Moi un pauvre enfant, Rémy, Comment j’aurais pu croire que j’allais pouvoir chantonné amèrement avec un air de vérité, la chanson de « Rémi sans famille ». Se jours de septembre pour toujours ancré dans ma mémoire, le second soulèvement.

Se fichu réveil qui sonne, six heure et demi du matin c’est vraiment trop tôt. Encore une journée d’étudiant ordinaire, qui commence comme pour beaucoup d’autre personne dans le monde. J’ai vraiment trop de mal à me lever, je suis bien mieux caché sous ma couette au chaud loin du froid extérieur.
Journée ordinaire, d’apparence seulement. Comme toujours je suis à en retard, j’enfiles mes affaires en vitesse et prend mon sac, je suis presque sûr d’avoir oublié plein de cours mais ça n’est pas grave, j’arrive à les suivre sans mal, et puis mes épreuves sont encore loin nous sommes en début d’année scolaire. Une simple pomme comme déjeuner s’est toujours ça, au pire un croissant à la pause acheté à la boulangerie me requinquera. Le ciel dehors n’avait rien de paisible comme prêt à quelque chose. Je ne pensais pas être aussi proche de la vérité. Une heure de bus, dans les bouchons de la petite ville de Vienne, déjà j’en ai assez de cette journée. Au lycée je retrouve mes amis et mes connaissances rien de très particulier, je ne trouve rien à dire a mon meilleur ami, à part :
_Salut Yannick.
_Salut Rémy. Je ne pourrai pas manger avec toi ce midi. J’ai plus cours, mes profs sont absents et là je vais rejoindre ma copine à St Etienne.
_Et ben, j’en connais qui vont bien s’amuser. Moi en tous cas, les cours m’attendent. Aller bon voyage.
Je me sens bizarre, une migraine qui débute. Je vois Joseph et David eux aussi n’on pas l’air bien. La première heure se passe plutôt bien, mais se mal de crâne empire et je commence a ne plus rien voir. Mes lunettes me brouille la vue, j’ai du mal à me tenir droit et j’ai une sorte de boule dans la nuque qui me fait un mal horrible. Alors que je suis en plein cours, je m’écrase de douleur sur mon bureau. Mon voisin de bureau, me voyant dans mon état me demandait :
_Est ce que sa va Rémy ?
_Comme un poisson dans son bocal !
Un instant de flottement :
_Putain de merde, j’ai un mal de crâne terrible. J’en peux plus.

La sonnerie retentissait et avec elle enfin le début de la pause. Je comptais en profiter pour aller voir l’infirmière, j’y retrouve Joseph et David, se dernier me demanda :
_Ne me dit pas que tu viens pour un mal de crâne toi aussi ?
J’étais stupéfait de sa question, je répondit bêtement
-Ben si pourquoi ?
_Parce que Joseph aussi ma rejoint pour la même raison.
Joseph nous interpella :
_Bon ben je sais pas vous, mais moi j’en ai assez je vais chercher un médicament.

Joseph s’avançait vers l’entré de l’infirmerie, quand pendant un instant je sentais ma vision se troubler, s’assombrir, qu’est ce qu’il se passait ? Des fourmis me prenaient aux jambes, j’avais du mal à me tenir debout, je ressentais des vertiges. Je ne comprenais pas trop ce qui m’arrivais, jusqu’à ce que j’entende et que je voit les vitres trembler. Une secousse violente ébranla le bâtiment pendant au moins une vingtaine de seconde. Je perdit l’équilibre tombant sur la cloison fragilisée tout au long de la secousse, se fissurant de toute part. Laissant le passage entier à mon bras droit. La secousse s’arrêta, et avec difficulté je sortit mon bras qui avait traversé les murs fragile de l’établissement.
Je n’avais rien de grave, Joseph et David non plus. Seulement pour nous, attendre l’infirmière pour un mal de crâne n’était plus d’actualité. Ma vue se portait dans le couloir, on avait eu de la chance, Une partie du couloir était sous les décombres du plafond. Des poutres, des fils électriques grésillant, vacillant dans les airs. Les vitres c’étaient fissurées, et en regardant à l’extérieur j’avais l’impression que la vie s’arrêtait un instant.
L’infirmière nous ordonna de l’aider pour sauver les personnes vivantes bloquer sous les gravas et pouvoir soigner les blessés légers en attendant les secours. Le silence fût rapidement balayé par les cris et les sirènes de la ville, cela devenait insupportable, j’avais l’impression que ma tête allait exploser, j’aurais voulus tous les faire taire.

Quelques temps plus tard après avoir tous été placés dans le self, on écouta à la radio se qui avait bien pu se passer. Je ne trouvais pas cela judicieux, enfin de rester dans le bâtiment. Si une seconde secousse débutait et que le bâtiment cédait, autant dire qu’il aurait un paquet de corps à sortir des gravas. Je tentais d’entraîner dehors David et Joseph. Lorsque les paroles qui sortirent de la radio m’interpellèrent, on venait de découvrir la raison de se désastre.
Un volcan, en Amérique du nord, était rentré en éruption. Le volcan de Yellowstone avait réalisé son éruption dévastatrice. Sa taille était incroyable, en à peine 20 seconde il avait atteint deux kilomètres de haut et il avait un cratère de plus de soixante kilomètres de diamètre, il était tellement puissant qu’il a décimer toute forme de vie dans tous l’est américain. Un immense nuage de poussière se dégageait du volcan et se propageait dans toute les directions, se qui intriguait les météorologue. Les vents auraient dû pousser les nuages de cendres dans les terres et pourtant ils allaient de partout.
D’un seul coup le présentateur de la radio s’arrêta, puis repris en exprimant avec maladresse que les Etats-Unis envoyaient un message d’alerte parlant de monstres tuant et brûlant tous sur leur passage. Je me dit qu’il avait prit la fréquence d’un fou, qui voyait sa mort arriver, lorsque rapidement le présentateur affirma que les satellites du gouvernement détectaient des lancements de missiles au cœur même des Etats-Unis et ayant pour cible l’épicentre du cratère et sa périphérie. Là je commençais a me poser des questions et se mal de crâne qui empirait, mais la situation était beaucoup plus alarmante.

Le nuage de cendre voguait dans l’océan atlantique nord et la quasi-totalité de l’Amérique du nord était recouverte par le nuage. La radio restait silencieuse, on avait plus aucun signe de vie de leur part, le silence total. On attendait tous la suite entassé dans le self attendant une réponse de l’outre atlantique, impuissant devant la radio qui restait muette. Le présentateur radio tentait de calmer le jeu et relançait ses différents messages demandant à la population de rester calme et d’écouter les autorités ainsi que les plans de secours qui débutaient.
Son monologue hertzien fût disloqué par une nouvelle secousse beaucoup moins puissante et moins longue. L’épicentre ? L’Islande. D’autre plus petites suivirent et là l’incompréhension prit le dessus, pourquoi des volcan sortait de terre a des lieux dit non volcanique dans le nord de l’Europe, après tout je n’étais pas volcanologue, mais était-ce pur coïncidence ? Le proviseur du lycée nous demandait alors de sortir du bâtiment, c’était plus judicieux, je ne préférais pas croupir dans un établissement qui s’effritait de minute en minute.
Une autre secousse plus puissante cette fois ci. Heureusement pour nous, nous étions installé dans la cours loin de tout danger. La radio nous informait que l’Etna était rentré lui aussi en éruption suivie du Vizuve avec une force inégalé dans le passé. Le cauchemar débutait. Sans le savoir nous étions entrain de plonger dans l’enfer qu’allait devenir notre chère planète bleue.

Les secours arrivaient, un camion de pompier était entré dans la cours et les professionnels s’occupaient des personnes les plus mal en point. Je pensais que j’allais pouvoir partir ou au moins me dégourdir les jambes, mais on se retrouvaient très vite dirigés par les pompiers pour que tout reste calme. Et les heures passèrent. Allongé sur le sol la tête dans l’herbe je réfléchissais, enfin j’essayais, se mal de crâne était toujours présent, attendant un petit instant de répit de ma part pour m’infliger un bon coup de barre dans ma tête. Quelques petits sifflements jalonnait se jeux désagréable auquel s’amusait mon cerveau. Je croyais ressentir d’autre vibration dans le sol, mais rien d’assez violent pour que cela soit alarmant. Et les minutes passèrent encore et encore, je n’écoutais plus la radio, je ne faisais plus attention à grand-chose, cependant une odeur titillait mes narines. Comme du brûler.

BLACK EARTH

Prélude:
(2em Partie)

Le ciel s’assombrit de plus en plus le nuage de cendre approchait, une étrange sensation envahissait mon corps, j’ai du mal à discerner se qui se passe autour de moi, une voie rentre dans ma tête je ne comprend rien a se qu’elle dit, elle me parait protectrice mais ignoble à la fois.
Le nuage est au dessus de nous et des cendres commençaient à tomber, me dérangeant de ma fausse réflexion, elles étaient brûlantes. En tombant Elles brûlaient tout, ne laissant qu’un paysage quasi lunaire. Un grondement approchait, prit par la peur je me levais regardant à droite à gauche, voyant les visages inquiets de dizaine d’adolescents. Des éclairs brise le silence, il s’abatte sur nous, arrachant de toute leur longueur les arbres. Et d’autre même sur des personnes les foudroyant, l’odeur de cendre se mélangeait avec celle des corps brûlés. L’envie de vomir me prenait aux tripes. Un feu jaillissait du ciel rapportant avec lui des colosses, imposant et inerte au milieu des personnes. J’étais de plus en plus effrayer par se qui se passait. Tout c’était arrêtez, le grondement du tonnerre était au loin. Est ce que le supplice prenait fin ?

Certaine personnes tentaient de s’approcher de ces corps sans vie. Moi, je restais distant effrayé, je ne sentais rien de bon la dedans. Une chaleur intense et une odeur de brûler se dégageaient de ces monstres entassés là au milieu de la cour. Mais comme des aimants, comme des bêtes trop curieuse certain élève professeur ou pompier s’en approchait. Je me parlais presque à voix haute :
_Il ne faut pas que l’on reste ici… Il… Il faut que l’on se barre.

D’un seul coup l’un d’eux se mit a bougé et empala un élève assez proche de lui, les autres suivaient l’exemple, ils déchiquetaient les élèves un part un, d’autres crachaient un feu ardent, brûlant vivent les personnes trop proche.
Sans chercher à comprendre se qui se passait autour de moi, je me suis mit a fuir le plus vite que me le permis mes jambes. Je ne faisais même plus attention aux personnes qui me demandaient de l’aide, seul moi-même m’importais. L’instinct primaire, animal, celui de la survie, guidait mes pas. Je m’engouffrais dans les cuisines, là je retrouvais Joseph et David à croire que on avait prévus tous ça à l’avance. Je ne voyais presque plus rien avec mes lunettes, je pensais dans un premier temps la fautive était cette migraine. Mais David m’enlevait mes lunettes. Elles étaient en morceaux, pas très utile, elle ne me servait plus a rien. Juste les regards de mes camarades voulaient tous dire, l’incompréhension, la peur et qu’allions pouvoirs faire pour sortir de cet enfer. A peine le temps qu’un morceau de mot sorte de la bouche de David qu’un professeur s’engouffra dans la salle pour y finir crucifier contre le mur face a lui par des flèches de granite fumantes. Je reconnaissais le visage du pauvre homme, c’était mon professeur de mathématique. Même si je lui voulais le plus grand mal, à cause de ses cours immonde, je n’aurais jamais voulu qui lui arrive ce qu’il lui arriva. Un de ces montres approchait c’était certain, une de ces créatures infâme allais être visible. Il fallait fuir, se cacher, mais où ?
Une seul solution s’offrais a nous, s’enfermer dans la réserve des cuisines, David massacra la poignet de dehors avec la 1er barre en fer qu’il trouva, on espérait que sa empêcherais se monstre d’ouvrir la porte, dès cette opération effectuer nous nous étions enfermer.
La lumière rouge de secours de la salle était allumée, elle donnait une ambiance très malsaine dans la pièce. La lumière très faible me permettais a peine de discerner les silhouette de mes deux compères. Violemment Joseph s’écroula par terre, il se retenait de crier pour ne pas attiré le monstre. Son corps était brûlant, il nous était impossible de calmer sa douleur, sans comprendre pourquoi il tomba dans un coma. Je ne comprenais rien, en quelque instant David a son tour s’écroula par terre il avait les mêmes symptômes que Joseph. Je me précipitais sur lui pour tenter de l’aider, en vain, lui aussi perdit connaissance. Je tentais de lui parler, de le réveiller, mais rien à faire. Il ne répondait plus, il était aussi dans une sorte de coma. J’étais seul, ils m’avaient laissé seul, seul à faire attention a leurs corps.
J’était le seul encore conscient, un bruit sourd provenais de la porte, voila il nous avait découvert. Dans les contours flous je recherchais quelque chose pour tenter de me défendre. Là, il y avait la barre que David avait utilisé. Je m’empressais de la prendre, me tenant prêt. Je discernais à peine la porte céder, une déchirure dans le métal s’agrandissait, lorsque la lumière extérieur balaya mon visage et que la forme immonde de la créature qu’il avait à l’extérieur m’observait. De toutes mes forces je plantais dans la fissure la barre. Un bruit de chair se perçant suivis d’un cris strident, me disait que j’avais fait mouche. J’essayais de tourner la barre dans mes doigts, pour agrandir la possible blessure que j’avais infligée :
_Allé dégage sale monstre.
La barre oscillait et une violente secousse m’arracha des mains mon arme de fortune. Je discernais la forme archaïque d’un canon se faufilant dans la brèche. D’un geste de survie, je m’écroulais au sol. Le sifflement aigu de trois projectiles retentissait dans la salle. Fasse à moi je trouvais un extincteur que je m’empressait d’utiliser. Dégoupillé J’attendais de voir la forme d’une tête s’immerger dans le trou. Lorsque cela fût chose faite. Je donnais un coup d’une extrême violence sur le crâne du monstre. Puis je vidais la totalité de l’engin par l’ouverture. Une énorme flèche s’engouffrait dans le métal de la porte la disloquant. Les morceaux eus l’effet d’un coup de poing sur moi me projetant à terre. Je me relevais mais là je commençais à perdre l’équilibre, une voix envahissait toute ma tête à me faire perdre mon sang froid, un cri infâme sortie de ma bouche sans le vouloir. Je sentis le froid du sol sur ma joue, sans m’en apercevoir j’étais tombé à terre. Mes jambes n’avaient plus tenus mon corps. La fraîcheur laissa la place à une chaleur et une odeur immonde, je sentais le souffle de cette créature passé sur ma joue, il était au-dessus de moi. Mais qu’est ce qu’il attendait pour me massacrer? La voix devenait insupportable, je me demandais quand ma tête allait exploser. Une sensation m’envahissait, une chaleur énorme et terrifiante, d’un seul coup j’eu l’impression qu’elle se dégageais de mon corps et puis se fût le trou noir une image fixe. Se fût ma dernière image de cette journée marquante.

La suite, d’après des dires, je me réveillai que sept jours plus tard. Ici, dans un lit où les draps étaient tapissés de sang, c’était une image peu ragoûtante peut-être le mien ou celui d’un autre je n’en savais rien. J’avais été soigné après avoir été retrouvé dans les restes du lycée, tous comme Joseph et David, beaucoup d’élève été dispersé dans la salle j’entendais certain parlé d’un halo qui aurait désintégré la plupart des créatures présentes dans le quartier du lycée. Une sorte de prêtre attendait, là, sur sa chaise, il attendait que je me réveille. Il avait l’air bizarre, il finit par me dire une phrase étrange sur une intonation anormale :
_Enfin te voila réveiller mon fils. Des temps obscurs se sont abattus sur nous. Tu es voué à une grande destiné, toi et tes amis. Sois en fier. Lèves-toi mon enfant, le glas de l’innocence a sonné, l’humanité t’appel alors répond lui.
Il se levait de sa chaise me tendit la main :
_Lèves toi, Liberi.

Alors que dire euh.... euh.... euh.....
non je déconne =)

A quand la suite?

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